GA autorisation de la CNIL

Google Analytics à nouveau autorisé par la CNIL ?

En juillet 2023, la CNIL a annoncé un nouvel accord entre l’Union européenne et les Etats-Unis concernant l’utilisation de Google Analytics.

Découvrez dans l’article qui suit :

  • Quels sont les changements qui en découlent ?
  • Quels sont les logiciels concernés ?
  • Nos recommandations adaptées à votre situation.

Lire notre article complet sur l’accord concernant Google Analytics

 

Pour en savoir plus sur le Réseau Conversion Boosters, c’est par ici…

devenez amazon prime vendeur

Booster vos ventes avec Amazon Prime vendeur

Suite à un accord conclu avec la Commission européenne, de nombreuses modifications ont été apportées au programme “Prime expédié par le vendeur” (Seller Fulfilled Prime) : simplification des critères d’éligibilité, suppression de l’obligation d’achat des étiquettes d’expédition couteuse et complexe.

Dans cet article, vous découvrirez :

  • Pourquoi devenir vendeur Prime ?
  • Devenir “Prime expédié par Amazon (SFP)” ou “Prime expédié par le vendeur (FBA)” ?
  • Les critères “Amazon Prime expédié par le vendeur” en 2023

 

Lire l’article complet pour comprendre comment devenir Amazon Prime vendeur 

 

Pour en savoir plus sur le Réseau Conversion Boosters, c’est par ici…

Résultats refonte checkout ecommerce B2B B2C

Refonte d’un checkout ecommerce B2B & B2C avec focus mobile : enseignements de notre webinar

Si vous avez un projet de refonte d’un site e-commerce B2B et/ou B2C. Avec notamment des enjeux sur le tunnel de commande (checkout). Alors vous allez apprécier ce témoignage de Quentin Bernard, Consultant UX & CRO et co-fondateur de l’agence UX arquen. Merci à lui 🙂

Il partage sa méthodologie et ses recommandations pour vos futures refonte B2B et B2C. Il le fait à travers un cas client : la conception du checkout du site Würth Modyf, un site e-commerce leader dans la catégorie des vêtements de travail pour professionnels.

Les résultats sont impressionnants, notamment sur le canal mobile : +100% de conversion et +40% de CA !

Quentin est un des experts triés sur le volet du réseau Conversion Boosters, à l’origine de ce webinar. En savoir plus sur le fonctionnement et les consultants du réseau.

 

Retrouvez dans cet article ses 10 recommandations pour une refonte web et mobile réussie.

 

0/ Présentation express du projet de refonte

Ce site marchand tourne sous Magento, et vend des vêtements de travail et chaussures de sécurité pour les professionnels. Il s’adresse à une double clientèle B2B et B2C. Et ce dans plusieurs pays européens. Une complexité qui donne tout son piquant au projet.

A la base du projet : un problème de transformation. Notamment sur le canal mobile, dont le trafic a fortement progressé ces dernières années. Un grand classique qui concerne ou a concerné une majorité de sites web ces dernières années.

 

1/ Combiner les données UX et Analytics pour un audit robuste

Quentin a présenté les grands principes de sa méthodologie. Et notamment la combinaison de 2 types de données :

Combiner ces données permet de réduire la zone d’ombre. Il s’agit de collecter un maximum d’enseignements sur le site actuel et sur les maquettes. Objectif : prendre les bonnes décisions pour orienter la refonte dans le sens de l’utilisateur final.

Le client est un des précurseurs dans l’adoption des données UX et Analytics. C’est probablement une des raisons qui l’ont poussé à choisir le profil de Quentin pour ce projet.

 

2/ Analyser les étapes du tunnel pour identifier les maillons faibles

Pour un impact maximal, il faut concentrer ses efforts sur les étapes clés. Les fameux 80%-20% de Pareto.

Quentin conseille d’identifier au plus vite les étapes qui sont des freins pour  l’internaute. Pour y arriver, il a combiné audit Analytics et Audit UX. Le livrable de cette analyse est la représentation en forme de user-journey ci-dessous. En d’autre terme, il s’agit de décrire et d’évaluer le ressenti des prospects tout au long du parcours.

tunnel complet par étapes

 

NB : Si vous avez un site internet de taille modeste, pas de panique devant ces “combinaisons” d’analyses et d’outils. En fin de conférence, Quentin a précisé un point essentiel : “une petite analyse vaut mieux que pas d’analyse”. Le dispositif est bien entendu à adapter aux ressources de la société et à l’ambition du projet.

 

3/ Le bon timing pour l’analyse : en amont et au début de la refonte

Quentin recommande d’écouter les utilisateur et d’analyser les données disponibles dans les phases amont du projet. C’est-à-dire lors de la phase de préparation du cahier des charges. Faire tester ses maquettes (dynamiques) par des utilisateurs est aussi une (très) bonne pratique. A ce stade, vous avez dépensé moins de 10 % du temps & budget de la refonte. Il n’est pas trop tard pour se planter et changer d’avis. C’est donc le bon moment pour déclencher les analyse décrites dans cet article.

 

4/ Focus mobile pour la refonte du tunnel de commande

Lors de l’analyse, parcourez vous même tous les tunnels. En particulier sur des téléphones mobiles. Utilisez plusieurs appareils et navigateurs. N’oubliez pas d’aller jusqu’aux dernières étapes du checkout. Faites les aussi (et surtout) parcourir par de vrais utilisateurs. Recueillez leurs irritants et points de satisfaction de la manière la plus neutre possible.

C’est indispensable pour les e-commerçants B2C avec une part de sessions mobiles majoritaire. Mais les sites B2B y viennent aussi. La part du mobile progresse inexorablement. C’est pourquoi on parle depuis 5 ans de mobile-first pour un projet de refonte. Nous y ajoutons volontiers le “user-first”. C’est le sens des méthodologies d’études des comportements en ligne utilisées par Quentin.

Une best practice pour l’ergonomie des sites / applis mobile : avoir conscience des zones d’interaction faciles, et de celles difficiles à atteindre avec un smartphone ou une tablette. D’autant que nous savons à présent que la moitié des utilisations d’un smartphone se fait à une seule main.

CTA panier site mobile

Un exemple flagrant sur le site étudié : le bouton de confirmation du panier était partiellement masqué par le bouton de click to chat. Mais aussi par le bouton en forme de flèche pour remonter en haut de page. Typiquement le genre de défaut d’ergonomie qui n’est pas repéré par les équipes web-marketing, habituées à regarder le site depuis leur ordinateur.

5 / Etendre le Clic-to-chat au delà des heures de bureau

À propos du clic-to-chat, Quentin a constaté dans Analytics une surperformance des sessions avec une interaction clic-to-chat. Un taux de conversion 20 fois supérieur à la moyenne des sessions.

Mais les horaires de réponse correspondaient aux horaires de bureau. Quentin a posé l’hypothèse qu’une majorité des internautes a besoin de support en soirée. D’autant que ce sont eux qui visitent le site depuis leur mobile ou tablette. Il a donc recommandé d’élargir les horaires de disponibilité du chat pour booster les taux de conversion. L’hypothèse s’est avérée payante. Pensez y pour votre site web.

 

6/ Rassurer dans le checkout pour éliminer les raisons de sortir du funnel

En analysant les données, Quentin a remarqué que certaines informations clés ne figuraient pas dans le check-out, mais sur d’autres pages. Par exemple les information à propos des délais de livraison, des retours, de moyens de paiement, etc.

Ces informations dites “de réassurance” peuvent booster ou détruire le taux de conversion d’un site e-commerce. En effet, cela contraint les visiteurs web à sortir du tunnel de commande pour chercher l’information désirée. Un irritant qui conduit logiquement à un taux d’abandon plus élevé.

En regardant les données de Google Analytics, il a constaté que les sessions avec une visite des pages de réassurance convertissaient 5 à 6 fois plus que les sessions sans visite de ces pages.

infos de réassurance

 

C’est pourquoi Quentin a recommandé, données et maquettes à l’appui, d’ajouter ces informations essentielles au cœur du checkout. Indéniablement une des raisons du succès évoqué plus haut.

 

7/ Des formulaires dynamiques pour une usabilité optimale

Une des bonne pratiques est d’améliorer les formulaires des différentes étapes du tunnel de commande. Quentin a ajouté des fonctionnalités pour en fluidifier le remplissage. Par exemple :

  • le remplissage automatique des champs.
  • la validation à chaque étape du formulaire.
  • l’ajout de message d’erreur au bonne endroit et en instantané.

 

8/ De l’art de confirmer la mise-au-panier d’un article

L’audit UX et les Tests utilisateurs ont montré que la mise au panier automatique posait problème sur mobile. En effet, les mobinautes ne voyaient pas de confirmation de leur ajout au panier.

Par ailleurs, les utilisateurs sondés ont regretté l’absence du guest-checkout. Comme l’illustre le verbatim ci-dessous :

 

Test utilisateur création de compte chekout

La réponse à ces freins en terme d’ergonomie a permis d’améliorer l’expérience utilisateur à des étapes clés du tunnel de commande.

 

9/ Produire des wireframes haute-définition… et les faire tester

Ces maquettes détaillées et dynamiques permettent aux salariés et aux utilisateurs de se projeter dans la future interface web. Et ce avant de commencer son développement. Faire tester ces maquettes animées permet :

  • d’éviter l’accident industriel en n’oubliant pas l’avis des futurs clients / utilisateurs
  • d’économiser sur les coûts de développement
  • d’améliorer le taux de conversion du futur site

 

10/ La refonte n’est que le début du travail

Les e-commerçants et éditeurs de site web le savent : les semaines qui suivent la mise en prod sont éprouvantes. Traquer les bugs, réparer les flux de données, comprendre pourquoi certains KPIs baissent. Ici aussi, les données analytics, heatmaps, et les user-tests sont bien utiles pour comprendre et corriger les problèmes.

Quand la situation est stabilisée, il s’agit de poursuivre l’optimisation continue. C’est la démarche CRO – Conversion rate Optimisation. Elle consiste à piloter une roadmap d’optimisation du site. Une démarche itérative : Analyser, Recommander, Prioriser, Exécuter, Mesurer… et recommencer !

Découvrez notre prestation “CRO-Pilote”

 

 

A propos de Conversion Boosters

Nous sommes un réseau sélectif de consultants en optimisation de site web :

  • Sélection drastique des meilleurs experts freelance ou en micro-agence spécialisée
  • Constitution d’équipe sur-mesure et devis en 48h
  • Accompagnement par un account-manager
  • Toutes les garanties : remplacement, contrat, assurance…

 

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Conversion Boosters

Consultant freelance Google Optimize ou autre solution de test A/B ?

La bataille fait rage entre les solutions traditionnelles d’AB testing comme AB Tasty, Optimizely, VWO, ou Kameleoon, et le nouvel entrant Google Optimize (depuis début 2017).
Comme ce fut le cas avec l’Analytics et Le Tag Management, l’arrivée de Google rebat les cartes et oblige ces acteurs comme les clients à repenser leurs stratégies.
Dans cet article, nous partageons nos observations et conseils sur le sujet. N’hésitez pas à contribuer à cette discussion dans les commentaires de bas de page.

 

Explosion de Google Optimize et du recours aux freelances

On constate en 2018-2019 deux phénomènes sur le marché de l’AB Testing et du CRO :
1/ L’ascension fulgurante de Google Optimize, qui compterait entre 25 et 30% de part de marché de l’AB Testing
2/ L’augmentation des prix de certaines solutions d’A/B testing traditionnelles, ce qui accélère cette évolution.
3/ Le recours croissant à des experts indépendants pour analyser les données analytics et UX, et piloter la roadmap et les campagnes d’AB Testing.

De plus de plus de responsables web-marketing trouvent qu’en utilisant la solution gratuite de Google, ils pourront investir plus de temps-homme sur la conversion (le fameux CRO).

Cela va dans le sens de notre conviction profonde : en matière d’AB testing, nous pensons que le logiciel représente 1 à 10% de la la valeur. Les 90-99% restants, c’est la qualité des humains et des process. Voir à ce sujet notre Manifeste du CRO.

Le marché est en train de se segmenter en 2 blocs (pour simplifier) :

  • Les sites web à fort trafic / enjeu business, qui continueront logiquement avec une solution payante (Google Optimize 360 ou une des solutions préexistantes) pour plus de fonctionnalités.
  • Les sites avec un trafic moyen, qui se tourneront vers la version gratuite de Google Optimize.

 

La mission type du consultant en AB Testing & CRO

Qu’il soit freelance ou bien salarié d’une solution d’AB testing, l’expert CRO a pour mission d’accompagner son client pour optimiser les taux de conversion de son site web ou appli mobile. Cela passe notamment par l’AB testing.

Voici à quoi ressemble une mission type d’accompagnement en AB testing :

  • Setup et paramétrage de Google Optimize ou toute autre solution d’AB testing
  • Analyse des données disponibles : données de vente, analytics, cartes de chaleur, sessions enregistrées, test utilisateurs, questionnaires, voire interview des collaborateurs.
  • Diagnostic : identification des principales zones de sous-performance : zones/pages du site, irritants UX, segments de visiteurs, canaux d’acquisition
  • Recommandation d’hypothèses d’optimisation
  • Pilotage de la roadmap d’AB tests
  • Paramétrage des tests validés dans l’interface
  • Lancement, test puis suivi des performances

 

Conversion Boosters a trié sur le volet les meilleurs experts indépendants en CRO et AB testing. Ils maîtrisent la plupart des solutions de Test AB, dont bien sûr Google Optimize.

Contactez nos consultants A/B Testing

 

Forces et faiblesses de Google Optimize

Google Optimize est en mode freemium

Oui, la solution est gratuite, mais dans une version limitée. Pour bénéficier de toutes les fonctionnalités, il faut passer à la version payante : Google Optimize 360

Principales limitations du mode gratuit :

  • Pas plus de 5 tests à la fois
  • Pas de ciblage d’audience Google Analytics
  • MVT (multivariate testing) limité à 16 variations
  • Pas plus de 3 KPIs par expérience (1 principal et 2 secondaires)
  • Google Optimize 360 permet de modifier à posteriori les KPIs d’un test A/B. Pratique pour creuser les impacts de chaque variation sur des métriques Google Analytics non-prévues initialement

Pas de consultants Google pour l’accompagnement

C’est là que les experts freelances interviennent pour combler le vide. Comme pour Google Analytics, cette expertise est amenée à se répandre en parallèle de l’expansion de la solution Google Optimize.

Choisissez un consultant expérimenté et spécialisé, car l’AB testing est un métier à part entière. Qualités requises : curiosité, rigueur, créativité, et pédagogie. Sans oublier les compétences analytiques, informatiques et statistiques indispensables à la performance.

 

L’éditeur WYSIWYG de Google Optimize est performant

Mais n’est clairement pas à la hauteur des autres solutions qui ont démarré il y a 8-10 ans.
Cela étant dit, tous les éditeurs WYSIWYG sont limités. Dès que l’on souhaite effectuer des modifications poussées, il faut souvent passer par du code Javascript pour arriver à modifier la page de la manière souhaitée.
Quelle que soit la solution choisie, le consultant indépendant avec un profil technique ira directement coder en Javascript les variantes souhaitées.

 

Google Optimize règles de ciblage

Segmentation redoutable chez Google Optimize 360°, plus basique en mode gratuit

En mode gratuit, vous avez accès à aux des critères de segmentation relativement standard. Voir ci-contre, ou cliquez ici pour les voir en détail sur le site Google. 

Avec la version payante (GGO 360), on peut utiliser comme déclencheur (trigger) un segment Google Analytics, GTM, ou la provenance de telle campagne Adwords ou Facebook ads

L’enjeu est bien sûr de personnaliser les pages d’atterrissage afin de booster les taux de conversion. Et ce de manière mesurable grâce aux tests A/B.

 

La Personnalisation temps réel moins aboutie chez Optimize

Création AB test personnalisé Google Optimize

Il y a à présent sur Optimize un module Personnalisation – en version bêta.
Objectif : personnaliser la page selon le segment de visiteur (voir ci-dessus).

Si on peut facilement personnaliser le contenu de la page grâce à l’éditeur WYSIWYG,  il manque la possibilité de paramétrer et d’envoyer des bannières, exit popup, ou infobulles à tout-ou-partie de l’audience du site. C’est un point faible car ces campagnes de personnalisation sont souvent les plus performantes.

Reporting GGO simplifié grâce à Google Analytics

Les objectifs de Google Analytics sont directement importés dans Google Optimize. On peut utiliser les visiteurs tombés dans telle variante A/B/N comme dimension secondaire dans Analytics. Dans le version payante, on peut même voir l’impact d’un A/B test sur des KPIs autres que ceux associés dans la configuration du test AB.

 

Connectivité maximale pour les acteurs historiques de l’AB testing

Se pose la question des connexions avec les autres solutions du marché. Sur ce point, clair avantage à l’expérience des logiciels pré-existants. AB Tasty, VWO, Kameleoon, Optimizely & consorts ont des connecteurs avec des dizaines/centaines de solution de tag management, cartes de chaleur, analytics, ticketing… Alors que Google a plutôt tendance à fonctionner en vase clos.

Conseils pour conclure. Quel outil/version pour vous ?

Selon nous, la version gratuite offre une palette de fonctionnalité largement suffisante pour se lancer dans l’AB testing et obtenir des résultats.

  • Entre 100.000 et 1-2 millions de pages-vues par mois, vous pouvez sereinement utiliser Google Optimize, avec l’aide d’un consultant indépendant qui connait cet outil et maîtrise bien l’AB testing.
  • Si vous avez + de 2 M de pages-vues et/ou l’ambition de mettre en place un programme de testing itératif avancé, alors tournez vous vers les solutions plus avancées d’un point de vue fonctionnel
  • Avec > 10 M° de PV, vous devriez déjà avoir un logiciel payant. Si ce n’est pas le cas, vous devez avoir de très bonnes raisons. On vous fait confiance 😉
  • Pour mémoire, nous déconseillons aux sites de moins de 50-100K pages vues par mois se se lancer dans l’AB testing. A ce stade, privilégiez votre référencement naturel et les optimisations CRO évidentes

 

Contactez nos experts Google Optimize

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Le Chief Consulting Officer est-il vraiment utile ?

D’où vient ce nouveau métier ?

Les métier de Chief Consulting Officer (CCO) et Chief Freelance Officer (CFO) sont en train d’émerger. Comme souvent, cette nouvelle vague vient des Etats Unis, où 34% de la main d’oeuvre est composée de ces “freelancers” (Source : Challenges)

La cause est simple : le nombre de freelances a doublé en 10 ans pour atteindre 2,3 millions en France – soit presque 10% des actifs. Et 95 % des entreprises européennes ont recours à des travailleurs indépendants (Source : SD Worx et Antwerp Management School, 2018).

Dans cet article, nous allons ici nous focaliser sur le Chief Consulting Officer. Celui-ci est en réalité un Chief Freelance Officer spécialisé sur des profils de consultants très diplômés BAC+4/5/8. Etant donné le profil des consultants du Réseau Conversion-Boosters, nous sommes plus légitimes pour en parler 😉

A quoi sert le Chief Consulting Officer  (CCO) ?

Son rôle est de rendre plus productif et plus performant le recrutement et l’accompagnement des consultants indépendants qui travaillent pour une société.

Aujourd’hui, chaque service gère ses prestataires dans son coin. Au mieux, on trouve dans les grands groupes une surcouche de process RH / compliance pour encadrer la pratique, avec un focus sur les risques juridiques et sociaux (et non sur la performance).

Le CCO va donc mutualiser un certain nombre de tâches pour l’ensemble de l’entreprise :

  • Comprendre et cadrer les besoins avec les équipes métier
  • Recruter les freelances, en s’assurant de leurs qualités techniques, mais aussi de leur compatibilité avec la culture de l’entreprise
  • Gérer ou superviser la partie administrative liée à ces ressources externes
  • Assurer le suivi de projets à plusieurs niveaux : relationnel, timing, performance…

Pourquoi son rôle est-il important ?

Si c’est bien mis en oeuvre, l’impact du CCO sera multiple : libérer du temps aux équipes métier, éviter les échecs de recrutement, fidéliser les freelances… pour au final réduire les coûts et améliorer la performance globale.

Le risque si c’est mal fait : ajouter un échelon / un interlocuteur et complexifier inutilement les process.

L’enjeu est finalement assez proche de l’ajout d’un Acheteur (+ process achat) dans un service Marketing par exemple.

Quelles sont ses qualités & compétences requises ?

Pour que cela fonctionne, il faut trouver le bon profil. Idéalement :

 

  • Expérience RH ou Management pour bien recruter & suivre les indépendants
  • Bonne connaissance du monde des freelances : statuts, réglementations, plateformes…
  • Compréhension des enjeux métiers de la société
  • Expérience de Gestion de projets complexes impliquant des freelances
  • Capacités relationnelles pour bien interagir avec les parties prenantes
  • Rigueur et organisation pour l’administratif et le suivi de projets

Dans cet article, Muriel Ancel parle du Chief Freelance Officer comme d’une hybridation entre fonctions Achats et Ressources Humaines.

Qui doit avoir recours au Chief Consultant Officer ?

Les sociétés qui auront le plus grand effet de levier sont :

  • Les grands groupes qui ont déjà massivement recours à des prestataires extérieurs
    => enjeu de rationalisation et de productivité
  • Les sociétés de toutes taille qui ont besoin d’insuffler des idées & pratiques nouvelles dans leur organisation
    => enjeu de transformation digitale, qui passe d’abord par les mentalités & pratiques
  • Les start-ups et ETI dont le business model est basé sur des communautés de freelances
    => enjeu de passage à l’échelle

Faut il externaliser ou internaliser son Chef Freelance Officer ?

Nous conseillons d’internaliser le poste si :

  1. vous avez en interne le profil qui réunit les compétences pré-citées – ou qui peut les acquérir.
  2. vous faites déjà (ou comptez faire) appel à de nombreux consultants indépendants. Conseil pour le savoir : Faites le ratio entre COO et le volume de freelances (en ETP – équivalent temps plein), puis comparez le aux autres fonctions “support” de votre société.

 

 

Si votre besoin est plus limité, posez-vous sérieusement la question de l’externalisation du recrutement et du suivi de vos prestataires freelance.

C’est précisément la mission de Conversion Boosters : lever les freins à la collaboration avec des consultants externe dans une optique de productivité et de performance.

 

Un CCO externalisé avec Conversion Boosters, comment ça marche ?

Un Chief Consultant Officer suit chacun de nos clients.
Ses missions par défaut sont :

  • La compréhension des enjeux & besoins du client
  • La co-construction d’une stratégie et d’un plan d’action avec le client
  • Leur transcription dans une lettre de mission / un devis
  • L’identification des freelances les plus pertinents pour chaque client. Parmi les critères de choix : expertise, disponibilité, tarifs, proximité culturelle et géographique…
  • La gestion administrative. Ainsi, le client n’a qu’un seul prestataire à référencer et à régler
  • La supervision des missions : votre CCO externalisé va assister aux principales réunions, et s’assurer auprès du client et des prestataires que la mission reste sur de bons rails (timing, livrables, relationnel…)

En cas de pluralité de consultants sur un projet, et si le client le souhaite, le CCO peut prendre en charge le pilotage opérationnel du projet (option sur demande).

Nous ayant délégué toutes ces tâches chronophages, le client peut se focaliser sur son coeur de métier !

Consultants Freelance

Le Chief Consulting Officer – effet de mode ou changement durable ?

Selon notre compréhension, le mouvement de “libéralisation” des compétences, qui débute avec les plus rares/pointues, n’a pas de raison de ralentir dans la durée.

Une crise économique pourrait bien sûr freiner le mouvement et ramener au salariat les moins téméraires, mais nous sommes persuadés que le micro-entreprenariat est une tendance de fond.

Centraliser et optimiser les tâches liées à la gestion des freelances semble une évidence à partir d’un certain seuil… que de plus en plus d’entreprises sont en train de franchir.

Donc oui, le Chief Consulting Officer a de beaux jours devant lui !

 

Caler un RDV avec notre Chief Freelance Officer

Lire aussi notre article : Un bon Freelance pour améliorer mon site web ? Où et comment trouver ?

Voir les expertises des consultants du Réseau Conversion Boosters

comment ameliorer mon site web méthode cro conversion

Comment améliorer mon site web ? la méthode CRO

Mon site n’est pas performant, par où commencer ?

Pourquoi est ce que mon site web ne génère par davantage de contacts ou de ventes ?
C’est hélas une question que se posent beaucoup d’éditeurs de site web. Et surtout la question suivante qui vient juste après :

Comment et par quoi dois-je commencer pour améliorer mon site web ?
Dois-je d’abord générer plus de trafic ? Mieux mesurer et comprendre l’audience de mon site ? améliorer son référencement ou sa vitesse d’affichage ? Revoir son ergonomie ? Interroger les visiteurs ? Faire un ab test ? Envisager carrément une refonte du site web ?

La réponse en 4 étapes clés pour améliorer un site web

 

La méthode CRO pour améliorer les conversions d’un site web

C’est pour répondre à ces questions afin d’apporter des solutions et une méthode concrètes que l’approche CRO (Conversion Rate Optimization) doit être envisagée.

La finalité du CRO c’est d’améliorer le taux de conversion d’un site web et donc d’améliorer sa performance.

“Plus le nombre de visiteurs qui laissent leurs coordonnées ou qui effectuent un achat est important par rapport au nombre global des visiteurs, plus le site web est jugé comme performant.”

Il s’agit d’une démarche d’amélioration continue dans laquelle le site web visité est analysé et remis au centre des enjeux :

  • de l’éditeur (ou annonceur) qui souhaite augmenter ses contacts ou ses ventes, mais surtout rationaliser ses dépenses et donc maximiser chaque visite.
  • des visiteurs qui recherchent une information, un produit ou un service adapté à leur besoin au moment où ils visitent le site web.

Parce qu’il ne suffit pas d’augmenter simplement le trafic des visites

Il serait tentant de résumer la problématique de la performance du site web à la seule question de la quantité de trafic entrant sur le site web. Mais avec les coûts des campagnes emarketing (référencement payant, naturel, emailing, posts sponsorisés…) qui ne font que croître, l’enjeu prioritaire est d’améliorer la performance des pages d’atterrissage (landing pages). Cela générera mécaniquement plus de chiffre d’affaires ou de contacts qu’une augmentation du trafic avec un taux de conversion qui reste faible.

En effet, avec un taux de conversion moyen de 3% (secteur marchand en France en 2018), le CRO va s’intéresser aux 97 autres qui sont déjà sur le site et qui n’ont pas encore “transformé l’essai”.

 

Etape 1 pour améliorer le site web : adapter la démarche CRO au contexte du site

adapter-strategie-amelioration

Chaque site web est différent et la stratégie pour l’améliorer ne sera pas la même selon qu’il s’agisse :

  • d’un site vitrine d’une petite entreprise cherchant à obtenir le plus de demandes de rappels.
  • d’un site marchand contenant de nombreux articles en vente dont l’objectif principal sera de maximiser le chiffre d’affaires.
  • d’un site média ou à contenu principalement éditorial dont l’objectif sera de développer sa notoriété et donc son audience.
  • d’un site événementiel communiquant sur les modalités d’une manifestation à venir dont l’objectif sera de générer le maximum d’inscriptions.
  • d’une landing page dans le cadre d’une campagne emarketing cherchant à enregistrer le plus de coordonnées des prospects effectuant une demande de devis par exemple.

En effet selon le contexte du site web, les leviers digitaux sur lesquels agir ainsi que les hypothèses d’optimisations (pour les ab tests notamment) ou le choix des indicateurs de performance à suivre (KPI) devront répondre à l’objectif principal de chaque page, soit parmi les suivants :

  • la génération de contacts
  • l’augmentation de la notoriété
  • l’augmentation des ventes
  • l’augmentation des leads (prospects qualifiés)…

Etape 2 pour améliorer le site web : partir d’informations quantitatives et qualitatives pour estimer sa performance réelle

 

enquete-satisfaction

le travail d’optimisation d’un site web doit d’abord se nourrir d’informations sur ses faiblesses qui soient fiables ou du moins les plus objectives afin d’identifier des solutions possibles ou sinon de pouvoir formuler des hypothèses d’amélioration (cas des ab tests par exemple).

Vous pouvez obtenir ces informations à partir de plusieurs sources comme par exemple :

  • le chiffre d’affaire des ventes issues du site web indiqué dans votre CMS ecommerce ou votre ERP
  • les données analytics fournies par votre solution de mesure d’audience web (google analytics, adobe analytics, piwik… Ces données sont particulièrement précieuses pour entamer votre démarche d’amélioration CRO car elles permettent de pousser très loin l’analyse du trafic et du comportement de vos visiteurs et permettent de répondre à des questions comme :- quel est le profil des visiteurs qui génèrent le plus de ventes ou de contact ?
    – est ce qu’ils proviennent majoritairement de mon référencement naturel (seo) ou par mes campagnes google ads (sea) ?
    – est ce que les visiteurs qui utilisent un appareil mobile sont ceux qui génèrent le plus de demandes ?
    – quels sont les mots clés saisis par les internautes qui ont visité mon site après un moteur de recherche (ou ceux qu’ils ont saisis dans votre moteur de recherche interne) et qui ont finalement acheté ?
    – à quelle étape de mon tunnel de vente est ce qu’il y a le plus d’abandons ?…
  • les données comportementales obtenues grâce aux solutions d’eye-tracking, de cartes de chaleur ou de session recording (hotjar, beampulse…)

L’analyse des données analytics et comportementales permet de créer des segments ou catégories parmi les visiteurs de votre site web pour vous permettre de traiter en priorité ceux qui sont le plus rentables pour votre business ou objectif (clients VIP, prospects chauds…). Vous pourrez ensuite leur adresser des messages ou offres spécifiques grâce à la personnalisation, ou créer des campagnes emarketing ciblant exclusivement ces visiteurs.

  • les enquêtes de satisfaction ou avis laissés par vos visiteurs (clients, prospects).

N’oublions pas l’utilisateur ! il doit être au centre de la réflexion et donc du fameux parcours client car tous les outils d’analyse ne remplaceront jamais le feedback réel de l’humain derrière son écran.

Etape 3 pour améliorer le site web : créer des indicateurs de performance (KPIs) pérennes

choisir-indicateurs-performance

les indicateurs de performance adaptés à votre site web vous serviront à mesurer à moyen ou long terme l’efficacité des actions d’optimisation que vous allez entreprendre.

voici quelques exemples de KPIs orientés performance d’un site web :

  • taux de conversion global d’une page :
    (nombre de conversions / nombre de visiteurs) x 100
  • taux de conversion des visiteurs sur mobile (smartphones par rapport à ceux sur ordinateur fixe desktop)
    (nombre de conversions mobile / nombre de visiteurs mobile) x 100
  • taux de conversion des visiteurs provenant de la newsletter (par rapport à ceux ayant cliqué sur une annonce google ads)
    (nombre de conversions newsletter / nombre de visiteurs newsletter) x 100
  • taux d’engagement sur le site web pour mesurer l’interaction des visiteurs avec les contenus proposés (durée des visites, nombre de vues des vidéos, nombre de partages sur les réseaux sociaux…)
    → par exemple pour les partages sur les réseaux sociaux :
    (nombre de partages / nombre de visiteurs) x 100
  • ou encore :
    – taux d’achat, de mise au panier, étape atteinte dans le tunnel
    – taux d’inscription
    customer life time value
    – temps de chargement de la page…

Comment implémenter ces mesures sur mon site web ?

La plupart des solutions de mesure d’audience comme google analytics peuvent afficher tout ou partie de ces indicateurs mais votre site web :

  • devra d’abord être correctement traqué, c’est à dire configuré techniquement pour permettre la collecte et l’envoi de ces informations à la solution de mesure analytics.
    C’est à cela que servent les outils de tag management comme google tag manager.
    Faites appel à un expert du tag management qui définira et implémentera un plan de marquage sur mesure pour votre site web.
  • devra disposer d’un tableau de bord convivial et synthétique regroupant les indicateurs clés (KPIs) que vous aurez défini.
    les solutions de data visualisation comme google data studio permettent très rapidement de créer un tableau de bord sous la forme d’une page web accessible avec un simple navigateur et regroupant les informations clés pour votre business (données analytics, ventes réalisées, dépenses emarketing…).

Etape 4 pour améliorer le site web : analyser le support digital, identifier et prioriser des pistes d’optimisations

plan-actions-cro

Selon les indicateurs de performance que vous avez définis, les pistes d’optimisations vont porter sur différents domaines de votre page web, classés ici par ordre de facilité de mise en oeuvre (ordre à adapter selon l’objectif du site) :

La technique :
cela va de soi, mais s’il y a un problème technique qui empêche le bon fonctionnement de votre page, cela constituera la première priorité :

  • le page-speed (ou temps de chargement) qui doit être le plus court possible (maximum 3 secondes)
  • problèmes fonctionnels (erreur lors de la saisie d’un formulaire par ex..)

Les contenus de la page :
c’est un domaine déterminant pour la performance de votre page web car il va impacter directement la perception des visiteurs.

les questions à se poser vont concerner ici l’adéquation des éléments suivants par rapport à l’objectif souhaité :

  • le contenu rédactionnel (densité de texte, justesse du propos, valorisation de l’offre promise, clarté du discours…)
  • qualité et pertinence des images, vidéos ou documents présentés
  • l’optimisation seo pour le référencement naturel de la page

Le web design et l’ergonomie de la page web (User Interface) :
Responsive Design ! la principale amélioration à viser sera de s’assurer de l’adaptation de la mise en page avec le matériel utilisé par les visiteurs (mobile ou desktop) et l’adaptation des contenus, éléments de navigation et d’actions (Call To Action) selon la taille d’écran disponible :

  • typographie lisible
  • contenu prioritaire bien visible sans avoir besoin de faire défiler toute la page
  • formulaires ergonomiques
  • boutons d’actions clairs et accessibles même sur les grands écrans des smartphones
  • format des images adapté…

L’expérience Utilisateur (User eXperience) :

ce domaine s’intéresse pour sa part au parcours global du visiteur et à tous les signaux qui lui sont envoyés afin qu’il se sente accompagné, voire récompensé pour ses efforts 😉

la page que visite l’internaute n’est qu’une étape de son parcours qui a sans doute débuté par une recherche sur internet ou un emailing reçu et qui se terminera – dans le meilleur des cas – par une prise de contact (réception d’un message de confirmation de sa demande par exemple). les résultats du moteur recherche, le texte ou le visuel de l’annonce sponsorisée, le contenu du mail reçu, le contenu de la page d’atterrissage, le mail de confirmation… sont autant de points de contact avec l’utilisateur où il faudra veiller à la cohérence des informations et actions proposées.

SEO, SEA, SMO… des leviers et campagnes emarketing différentes mais … un même utilisateur derrière l’écran et donc une seule User Experience.

ce qui doit guider la réflexion à ce stade c’est par exemple :
ma page web correspond-t-elle vraiment à la promesse de l’annonce google ads ?
mon email était personnalisé, est ce aussi le cas de ma page web ?
ma recherche sur internet était très précise, est ce aussi le cas des informations présentes sur la page ?
ai-je besoin de réaliser un audit UX plus complet

Comment prioriser les actions ?

quick wins : il s’agit d’actions rapides à mettre en place et dont les effets sur la performance peuvent être importants :

  • diminuer le temps de chargement de la page et corriger les bugs s’il y en a
  • changer les contenus ou médias par des éléments plus adéquats

mid term : ce sont des actions à effet à moyen terme dont la mise en oeuvre peut être plus conséquente ou dont l’effet sur la performance n’est pas forcément avéré au départ. C’est notamment ici que les campagnes ab test pour améliorer le site web sont particulièrement indiquées et utiles.

en effet les campagnes ab test vont permettre de rapidement lever les doutes sur la pertinence des hypothèses d’optimisation.

très faciles à mettre en oeuvre sur un site web ou une application mobile, les solutions d’ab test (google optimize, abtasty, kameleoon…) gèrent l’affichage à certains visiteurs d’une variante optimisée de la page web et vont mesurer la performance de leurs actions afin de confirmer – ou non – des hypothèses d’amélioration (changement d’un contenu ou bouton, modification de la mise en page, message ou offre personnalisée, refonte complète…).

un plan ab tests ou une véritable roadmap peut être créée pour lister et prioriser l’ensemble des tests d’optimisation à réaliser.

sur la base du bilan des campagnes ab tests, l’éditeur du site, les équipes en charge des campagnes emarketing ou l’équipe produisant les supports digitaux peuvent prendre des décisions claires quant aux optimisations à généraliser et ce sur la base de preuves réelles d’efficacité !

Personnalisation du parcours : nouveau graal de la conversion ?
les solutions techniques existent aujourd’hui pour pousser très loin la personnalisation des contenus d’une page web , d’un site ou d‘une application mobile et elles ont révélé tout leur potentiel pour augmenter les conversions :

Long term : le travail sur le long terme consiste à pérenniser les acquis obtenus tout au long de la démarche d’optimisation CRO et qui s’inscrit complètement dans la philosophie agile de test and learn.

  • mesurer régulièrement la performance via les indicateurs définis
  • se nourrir des expériences passées et capitaliser sur les enseignements acquis
    (implémenter et généraliser les variantes gagnantes des campagnes ab test)
  • apprendre en permanence notamment via les avis clients
  • surveiller la concurrence et savoir se remettre en question
  • se constituer un recueil de bonnes pratiques

Conversion Boosters avec son réseau d’experts en optimisation web pourra vous accompagner dans l’analyse de votre site web et dans l’implémentation des solutions pour le rendre plus performant.

Briefez – nous

Vous souhaitez vous perfectionner en référencement naturel, en UX, AB testing, dans l’analyse du trafic de votre site web ou construire vous-même votre propre tableau de bord ? Nous proposons des formations en SEO, UX, Test A/B Google analytics, Google tag manager, Google data studio, et bien plus encore.

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SEO - Améliorer Référencement Vocal sur Google

Référencement vocal : Comment améliorer son Vocal SEO ?

Le Vocal s’impose commun un nouveau canal d’interaction entre les marques et les consommateurs

Quelques chiffres suffisent à rendre tangible la vague qui nous arrive dessus. En 2020 aux Etats Unis, 50% des requêtes passées à Google seront vocales. Et plus de la moitié des ménages américains auront fait l’acquisition d’un Assistant Vocal.

Parmi les premiers impacts de cette entrée dans “l’ère du vocal” pour tous les sites internet (pas seulement le e-commerce) : le référencement vocal

Le constat est simple : La nature des requêtes est en train d’être modifiée par le vocal. Plus de questions, plus détaillées, posées en langage naturel. En conséquence, les experts SEO commencent à adapter leur stratégie et leurs tactiques aux requêtes vocales pour améliorer le référencement naturel des sites de leurs clients.

Nous partageons via ce lien un guide du Vocal SEO. Il contient notamment les conseils de notre consultant SEO, qui a déjà adapté ses pratiques au référencement vocal.

 

Lire le guide Vocal SEO

 

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Nos experts sont présents à Paris, Strasbourg, Lyon, Lille, Caen, Montpellier...

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offre conformité RGPD web et tracking Conversion boosters

RGPD – Mise en conformité de votre site web

Il n’est pas trop tard pour mettre en conformité RGPD votre site web ! 

Confiez ce chantier à des experts du digital et du droit du numérique. Vous gagnerez un temps précieux et vous ferez une rentrée en toute sérénité ! Avoir un site web performant c’est aussi s’assurer qu’il respecte à la lettre la nouvelle réglementation européenne et ça rassurera vos clients ou prospects.

La règlementation européenne sur les données personnelles RGPD est entrée en application le 25 mai dernier. De tous les chantiers de mise en conformité RGPD, votre site internet est celui qui est le plus exposé. Il constitue en effet votre vitrine sur le monde et le point de contact avec les données personnelles du grand public, de vos prospects ou de vos clients.

La bonne nouvelle : c’est également le chantier le plus rapide à mettre en oeuvre. En effet, il est possible de se mettre en conformité en quelques semaines seulement. Cela passe par une méthode rigoureuse d’audit RGPD des fonctionnalités du site, des solutions de tracking employées, et un accompagnement juridique professionnel.

 

Nouvelle offre de mise en conformité RGPD pour site web et outils de tracking.

Conversion Boosters s’associe au cabinet d’Avocats Schreckenberg-Parniere.

Schreckenber Parniere Cabinet Avocats conformité RGPD

Cette offre conjointe comprend :

  • un audit technique et juridique des traitements présents sur le site : formulaires, analyse d’audience…
  • la mise en oeuvre d’une solution dynamique pour informer les visiteurs et gérer leur consentement pour les cookies et tags de tracking
  • la mise en conformité RGPD des textes officiels : mentions légales, gestion données personnelles, CGV…

Découvrir l’Offre RGPD Web et Analytics

collaboration avec un consultant freelance

Comment trouver un bon freelance pour mon site web / appli ?

Pourquoi tout le monde se met à collaborer avec des freelances ?

Au-delà du coté hype de la “startup nation”, plusieurs tendances sont à l’œuvre :

Une tendance conjoncturelle évidente : la croissance économique et le recul du chômage induit une tension sur les talents, et en particulier compétences les plus demandées dans le Digital (développeurs, data analysts, experts web-marketing, UX Designers, SEO… )

Une tendance de fond : les générations Y et Z n’aspirent plus au salariat ni à ses contraintes. Ils sont de plus en plus attirés par les startups et l’entreprenariat.

Un effet d’aubaine : le doublement du plafond de chiffre d’affaire annuel pour les micro-entrepreneurs début 2018 a créé un appel d’air à ceux qui hésitaient à franchir le pas.

La conjonction de ces 3 effets rend le recrutement encore plu ardu, en particulier pour les compétences très recherchées dans le digital.

 

Pourquoi est-il si difficile de trouver un consultant de qualité, et en particulier pour améliorer son site web ?

Selon nous, pour performer sur un projet collectif, le savoir-être est aussi importante que le savoir-faire. Sur les métiers liés aux web, par nature assez techniques, cet alliage est assez rare. Déjà un bel écrémage des talents potentiels !

Au delà de ce qui précède, une de nos convictions fondatrices est que les meilleurs experts sont soit dans les plus grands cabinets de conseil / agences web (et facturées à prix d’or), soit ils se sont mis à leur compte.

Ces derniers, ces experts freelance talentueux, sont difficiles à trouver. Ils ont des clients fidèles. Ils ne perdent pas de temps à répondre à des appels d’offre sur les plateformes de freelances généralistes. Ils ont ce luxe de ne pas avoir à prospecter. Il faut aller les chercher.

 

Pourquoi cette trouille ? Les craintes au moment de choisir un freelance sont-elles légitimes ?

On nous dit souvent que trouver un consultant sur une plateforme de freelances revient à jouer à la roulette Russe. Certes il y a les avis, mais est-ce suffisant pour laisser les clés du camion à un indépendant que l’on ne connait pas ?

Il faut donc leur faire passer de véritables entretiens d’embauche. Faire du reference-check pour s’assurer de leur fiabilité… très chronophage, avec au final peu de garanties.

Dernière cause de déception souvent entendue : les soft-skills d’un expert indépendant laissent parfois à désirer. C’est assez logique, en particulier sur des profils plus techniques, qui sont souvent moins à l’aise pour communiquer efficacement et/ou piloter rigoureusement des projets. On pourrait en conclure que le consultant n’est pas compétent, alors qu’il manque simplement d’accompagnement.

Donc oui, cette hésitation à se lancer dans la recherche d’un freelance – et à la conclure – est tout à fait légitime car les risques sont bien là.

 

Où trouver le bon expert pour créer ou améliorer un site web ?

Passons à présent en mode solutions & conseils. Pour trouver le bon consultant freelance pour une mission précise, voici ce que nous préconisons :

Préparation :

  • Définir clairement la mission, des objectifs aux livrables et aux KPIs
  • En tirer une fiche de poste : expériences, compétences, qualités humaines, fourchette de rémunération, localisation géographique

Recherche :

  • Commencez par sonder votre propre réseau, faire savoir que vous cherchez un profil avec telles compétences pour améliorer votre site web (ou tout autre interface)
  • Précisez si vous cherchez un freelance en priorité, mais ne fermez pas la porte à d’autres type de solutions : embauche, agence web, consultant en ESN (ex SSII), alternant…
  • Demandez à vos agences web / instituts / cabinets de conseil. Vos prestataires habituels ont l’avantage de bien vous connaitre, ainsi que votre site / appli. A défaut d’avoir le bon profil au bon prix, ils seront de bon conseil et pourront vous ouvrir leur réseau
  • Explorer les plateformes de freelance. Il y a les plateformes généralistes comme Malt ou Freelancer, qui proposent des (dizaines de) milliers de profils d’indépendants. Mais attention au côté chronophage/jungle
    –> C’est pourquoi nous recommandons de privilégier les plateformes et réseaux 100% spécialisés dans les domaines qui vous intéressent.
  • Autre critère important : souhaitez-vous minimiser le budget ou bien le risque de sous-performance ?
    Pour schématiser, les plateformes de freelances généralistes sont souvent positionnés « low-cost, no-service », alors que les réseaux de freelance spécialisés proposent un accompagnement sur mesure des consultants et des projets, afin d’améliorer la qualité / fluidité / performance de la prestation… comme une agence web en fait.

 

Quels sont les réseaux spécialisés sur la création et l’amélioration des sites web et mobiles ?

Les compétences nécessaires pour un lancement ou une refonte de un site internet ou d’application mobile se trouvent sur des plateformes comme Codeur.com (développeurs) ou  Graphiste.com (illustrateurs, designers), ou sur des réseaux à taille humaine comme Vanille Fraise (Graphiste, Directeur Artistique, UX Designer) ou encore Conversion Boosters (CRO, UX, SEO…).

 

Comment choisir entre plusieurs consultants freelance ?

C’est l’étape la plus critique. Avec un consultant indépendant, le risque est bien sûr largement minoré par rapport à un entretien d’embauche, mais quand même, autant éviter de se planter !

Pour arriver à une short list, il faudra probablement filtrer. Selon nous, les 2 leviers les plus puissant sont :

  • la recommandation directe d’une personne qui s’engage personnellement sur la qualité du prestataire
  • l’entretien téléphonique de 10 minutes, souvent suffisant pour savoir si on a envie de creuser

Une fois la short-list achevée, ce sont les entretiens à proprement parler. Nous vous renvoyons aux multiples ressources disponibles sur le web pour bien maîtriser ce sujet. Nous nous permettons simplement d’insister sur la préparation :

  1. Si vous avez rédigé la fiche de mission et la fiche de poste comme suggéré ci-dessus, vous partez sur de bonnes bases
  2. Préparez ensuite une grille d’évaluation avec vos critères de choix (si possible avec un coefficient sur chaque critère)
  3. Rédigez un guide d’entretien avec des questions utiles et des mise-en-situation qui faciliteront votre prise de décision

Avant de finaliser votre choix, demandez toujours des références client que vous pourrez joindre (surtout si vous n’avez pas eu de recommandation en amont).

 

A propos de Conversion Boosters

Une fois que votre site web est lancé, ce n’est que le début de l’aventure. Il faut l’améliorer en permanence.

La vocation de Conversion Boosters est de réunir les meilleurs experts en CRO (Optimisation des taux de conversions) avec des spécialistes de l’UX, du SEO, de la rédaction web, AB Testing, Personnalisation, Vocal Commerce, Analytics & Dataviz… Ces consultants indépendants sont basés dans toute la France, et notamment à Paris, Strasbourg, Lyon, Lille, Montpellier, Reims…

Voir les profils de nos consultants indépendants

rgpd-et-tags-emarketing - blog

RGPD : quel impact pour google analytics et les tags emarketing ?

Le RGPD est entré en vigueur le 25 mai 2018 et oblige les éditeurs de sites web à informer et à gérer le consentement des visiteurs pour tous les traitements concernant leurs données personnelles.

Google analytics ainsi que la grande majorité des tags ou pixels présents sur les sites pour analyser et mesurer les performances des campagnes emarketing sont donc concernés par cette nouvelle réglementation.

Mettre en conformité RGPD son site c’est aussi, voire un préalable, pour assurer sa performance et donc maximiser ses conversions.

Pourquoi google analytics doit-il être configuré différemment ?

Comment mettre en conformité l’utilisation de google analytics ?

Et pour les tags tiers associés aux campagnes emarketing ?

Le rgpd interdit-il les tags tiers emarketing ?

Comment déclencher les tags et traceurs seulement après le consentement ?

Voir l’article complet